Isabelle, 50 ans, et la question qu’elle ne savait plus à qui tourner Rien ne clochait indubitablement dans la vie d’Isabelle. Du moins, rien qu’on soit en mesure de englober de l’extérieur. Elle vivait seule, par décisions. Elle avait ses conventions, son accomplissement professionnel lequel mi-temps dans une librairie, ses rassemblemen
Isabelle, 50 ans, et ce domaine qu’elle ne savait plus à qui porter Rien ne clochait réellement dans la réalité d’Isabelle. Du moins, rien qu’on soit capable de inclure de l’extérieur. Elle vivait seule, par arbitrages. Elle avait ses rituels, son job auquel mi-temps dans une librairie, ses assemblée réguliers chez le kiné, ses sér
Isabelle, 50 ans, et ce domaine qu’elle ne savait plus duquel ouvrir Rien ne clochait indiscutablement dans la réalité d’Isabelle. Du moins, rien qu’on soit en capacité de voir de l’extérieur. Elle vivait seule, par arbitrages. Elle avait ses habitudes, son boulot auquel mi-temps dans une librairie, ses assemblée réguliers chez le kin
David, 51 ans, et le déclic qu’il n’attendait plus David ne parlait jamais de ce qu’il ressentait. Ce n’était pas dans sa rencontre, ni dans ses habitudes. Il avait persisté élevé dans l’idée qu’un espèce humaine devait “tenir”, “gérer”, “avancer”. Alors il avait fait comme par exemple de tous temps. Il avait travail
un messager du très large nord Quelques journées ensuite, la bâtisse reçut une consultation singulière : un homme solide, emmitouflé dans un manteau épais, venu d’une région septentrionale. Il se présenta par-dessous l'appellation de Rasmus et parla un à la française approximatif, associant son accentuation nordique à des termes local